N'avez vous jamais remarqué le tour que prend la vie ?
Un jour, on souffre, le lendemain, on sourit.
C'est dramatique, cette mélancolie métaphorique,
Cette euthanasie pas vraiment Fortuite...

Un jour, on se lève, on marche, comme le jour d'avant.
Le jour d'avant qu'est-ce qu'on avait fait d'ailleurs?
Se lever, marcher, se faire larguer, et arrêter d'aimer...
Et là, on se rend compte qu'on ne peut jamais rien nier.

De Chine en Mallorée, du centre de l'univers à son acmé,
Quoi que l'on fasse, quoi que l'on dise, l'amour toujours
Aura le pouvoir de nous terrasser. Mais quelle déliquescence !
Oh, oui, quelle déliquescence, de vivre ainsi au jour le jour.

Carpe diem, disaient-ils. C'est quand on applique cette philosophie,
Que l'univers tout entier se met à nous submerger de cette folie.
Pas une seconde avant, mais dès que l'on s'y rend,
Le monde nous fait part de l'expression de ses distingués sentiments.


Alors, certes, parfois, il faut attendre, parfois, il faut souffrir.
Mes amis, mes frères et sœurs, c'est moi qui vous l'assure,
A moins que vous ne soyez pas encore assez mûrs,
Dans la vie, après la douleur, il y a toujours un sourire.

JM