Écoute le son de la mort qui t'écoute
La mort la vie même combat de chaque jour
Car bien que je n'ouïsse que l'écume des jours
Viens, abats-moi et rencontre mon cœur sans foi.

Quelle horreur vers laquelle se tourner, ô questions !
Qui suis-je, que sommes nous pour craindre ainsi
L'auto-dépravation que me causent ces tourments incessants
J'ai peur, peur d'être vide et de n'exister,
Que par le reflet de mes propres pensées...
Dans tes yeux.

Ô toi déesse dieu reine mère qui est ma patrie
Gaïa grandiloquente qui ne nous écoute pas
Tu m'assailles de tes doutes, mon cœur enfoui
Sous la glace arctique du désavouement des sentiments
Je ne sais qui aimer, mille et mille tromperies
Qui me suivent lascives et interprétatives
Adieu.

JM.

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